A propos du révolutionnaire Schunck Dans la chronique de l'Eglise évangélique, il est écrit au sujet de Schunck, un compagnon du féroce Euloge Schneider : « en ces jours de 1791-1793, les discours les plus impies retentirent dans notre église, notamment de la part du pasteur de Weinbourg de cette époque, Westermann, et d'un bourgeois d'ici, Schunck, qui du haut de la chaire, coiffés du bonnet rouge, tournèrent en dérision Dieu et la Religion. » Ayant rassemblé à Weinbourg les croix enlevées au cimetière ainsi qu'une figurine de cire représentant Saint Wendel, le patron de l'endroit, il a placé un bonnet rouge sur la tête de la statue et l'a brûlée sur les croix rassemblées. Il contraignit un autre bourgeois à fracasser l'autel avec lui ; et pendant cette destruction on a entendu un cri venant de l'autel, comme celui d'un enfant. Certains disent que Schunck serait « passé » comme le maire qui plus tard par son insouciance fit perdre à la commune sa forêt et ses droits forestiers. On les voyait parfois ,venant du Galgen, se diriger vers le village la tête sous le bras. Jac. 1909, 17